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Qu’est-ce qu’un contenu de qualité ?

Avec environ 1,8 milliards de sites dans le monde, dont 800 000 nouveaux chaque jour, la pression pour fournir un contenu web de qualité devient de plus en plus prégnante. Fournir un contenu internet de qualité permet en effet de gagner l’attention des lecteurs… mais aussi des robots indexeurs ! Quels sont donc les 3 secrets à connaître pour un bon référencement naturel ?

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Qu’est-ce qu’un contenu de qualité ?

Avec environ 1,8 milliards de sites dans le monde, dont 800 000 nouveaux chaque jour, la pression pour fournir un contenu web de qualité devient de plus en plus prégnante. Fournir un contenu internet de qualité permet en effet de gagner l’attention des lecteurs… mais aussi des robots indexeurs ! Quels sont donc les 3 secrets à connaître pour un bon référencement naturel ?

1- Un bon contenu web doit être structuré

Commencer par une url simple

Première étape, l’adresse. Choisir une url courte et explicite facilite le travail d’indexation par les robots des moteurs de recherche, pour un bon référencement naturel SEO.

Choisir un titre juste pour chaque page

Un contenu de qualité doit se penser comme un produit : pour plaire, ce dernier doit être en adéquation avec les attentes du marché (c’est le PMF ou product market fit, cher à tous les responsables marketing).

Il en est exactement de même pour un titre d’article, qui doit être en adéquation avec la recherche de l’internaute.

Avoir un titre contenant les mots clefs, et correspondant parfaitement au contenu, permet d’avoir plus de CTR (Click-Through rate ou taux de clics) et moins de taux de rebonds.

Prévoir un chapô ou introduction

Le paragraphe d’introduction doit traiter de la problématique qui va être abordée… et parfois de la solution. L’introduire sous forme de question a un double intérêt : permettre éventuellement une position 0 en y répondant rapidement, et induire chez l’internaute une curiosité intellectuelle (pourquoi ? comment ?).

Cela deux conséquences : augmenter l’engagement de lecture, et diminuer le pogosticking préjudiciable au référencement.

C’est quoi le pogosticking ?

Lorsqu’un internaute effectue une recherche, il clique sur un résultat : si celui ne lui convient pas, il revient en arrière sur sa page de résultats (SERP) pour cliquer sur un autre résultat. Si celui-ci lui convient, il reste alors sur cette seconde page. Ce comportement d’un lecteur qui « rebondit » sur une page est appelé pogosticking.

L’algorithme Google en déduit que le premier site n’est pas pertinent sur la requête, alors que le second l’est : le référencement est alors modifié.

Organiser le texte avec des titres balises

Structurer son texte en paragraphes et sous-paragraphes courts permet d’améliorer l’expérience lecteur, rendue à la fois plus agréable et plus facile.

Mais cette structuration du texte permet aussi de gagner en référencement, en travaillant les keywords des titres h2, h3…

Un bon titre doit être court (idéalement 5 mots), présenter ce qui suit, teaser l’intérêt du lecteur et contenir si possible une information.

2- Un contenu web de qualité doit être pertinent

Il cite ses sources

Toute personne commençant à lire une page internet ou un article de blog est par nature en recherche d’informations. C’est pourquoi un contenu web doit être aussi exhaustif que possible, sans forcément entrer dans les détails. Liberté est donnée ensuite à chaque lecteur d’aller rechercher des informations plus ciblées, selon ses centres d’intérêt, ses découvertes ou ses propres méconnaissances.

Il faut donc lui fournir une vue d’ensemble, avec la liste des possibles.

Intégrer les sources permet alors de donner du sérieux à un contenu, à la fois pour l’internaute et les robots indexeurs : liens entrants et liens sortant favorisent en effet le référencement naturel. Il faut en revanche veiller à chaque fois à la fiabilité de ces sources, notamment en termes de contenu et d’obsolescence de l’information.

C’est aussi une histoire de taille

Selon Hubspot, la longueur idéale d’un post pour un bon référencement se situe entre 2100 et 2500 mots. Cela rejoint les statistiques fournies par Copypress, sur la longueur des pages internet apparaissant dans les top recherches : elles contiendraient en moyenne 2416 mots. Selon Backlinko, la page s’affichant en première position d’une recherche Google contient en moyenne 1477 mots.

Pour viser un contenu qualitatif et quantitatif, il est en revanche important de ne pas délayer sur 2000 mots la même information : le lecteur doit y trouver une progression, au risque de faire baisser l’engagement.

Différentes techniques d’écriture professionnelle existent pour stimuler son attention, comme les formes interrogatives qui teasent le rationnel, ou le storytelling qui engage l’émotionnel.

Cela permet d’augmenter le temps passé sur le site.

Des informations redondantes

Le web regorge de pages et de contenus, très souvent sur les mêmes sujets. Face à des informations redondantes, un nouvel article doit donc obligatoirement apporter une plus-value.

C’est assez facile quand il s’agit d’actualités puisque, par nature, l’actualité possède l’a priori d’une nouveauté et d’une information.

La nécessité d’un contenu original

Dans les autres cas, il faut savoir apporter cette plus-value à travers un point de vue plus personnel, qu’il soit ou pas technique. Parler de son expérience, de son approche, de ses astuces, sont autant de moyens de fournir un contenu original, se démarquant de la concurrence, évidemment sans duplicate content pénalisé par Google.

Un professionnel peut par exemple expliquer pourquoi il a choisi telle technique pour son activité, et en quoi il la maîtrise pour un résultat meilleur que ses concurrents.

Il n’y a rien de plus frustrant pour un lecteur que de perdre son temps à la lecture complète d’un article de 2000 mots. Et d’arriver à la fin sans avoir rien appris : « So what ? »

Si l’expérience de lecture est enrichissante, on augmente en revanche le taux de conversion et d’engagement du lead. Pour le prospect, un article est donc le reflet de votre travail et de votre activité professionnelle : il doit donc être réussi, professionnel et rassurant.

Un bon article incite au partage

Si la plus-value de lecture est présente, vous aurez un lecteur heureux, prêt à échanger ses nouvelles connaissances auprès de son réseau. C’est pourquoi un contenu de qualité doit se donner les moyens d’être partagé sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Linkedin, Instagram…) ou d’être intégré à un site ou à un blog.

C’est un moyen simple d’augmenter sa visibilité et son référencement SMO : plus de rank et plus de backlink.

3- Un contenu qualitatif est diversifié

Pour être reconnu comme un contenu qualitatif, encore faut-il que l’article arrive à se démarquer, dans un paysage très riche en contenus.

Cela passe par sa mise en page, la forme devant être au service du fond. C’est comme un bon film : il nécessite un bon contenu (l’histoire, le scénario) mais aussi un bon contenant (l’image, la réalisation).

Une identité visuelle

Un vrai travail professionnel doit être fait sur l’UX Design, en collaboration avec un directeur artistique.

Le respect d’une charte graphique est essentiel, car cette dernière fait partie de l’identité numérique du professionnel.Elle prolonge son identité réelle, et doit donc véhiculer l’image qu’il souhaite renvoyer (fun, sérieux, empathie, modernité, compétence…).

En communication, le contenu du message est essentiel : mais le moyen dont on le délivre l’est tout autant.

De la créativité multimédia

Si possible, il ne faut pas hésiter à fournir différents niveaux de lecture, avec du contenu multimédia complémentaire : image, graphique, infographie, vidéos, sons, photos… Tout ce qui vient nourrir et illustrer le propos peut constituer un bonus.

L’interactivité

L’interactivité fait partie de l’ADN d’internet : c’est le prolongement virtuel du sens du contact qu’ont de nombreux professionnels avec leur clientèle, dans la vraie vie.

Permettre des questions ou des commentaires prouve au prospect qu’on est un professionnel sérieux, à l’écoute de ses clients.

C’est toujours très positif, à condition de veiller à l’absence de bad-buzz en surveillant donc son e-reputation .

Fuir internet pour éviter qu’on parle de soi en mal est une erreur : une personne mal intentionnée s’exprimera de la même manière. La seule différence est que vous ne le saurez pas, sans même la possibilité donc de vous défendre !

La technique doit suivre

Bien entendu, un contenu n’est qualitatif que s’il se délivre facilement et est accessible au plus grand nombre. Le travail sur l’architecture du site, adapté aux mobinautes (First mobile) est devenu une nécessité : le smartphone s’impose en effet au quotidien dans les recherches Google.

Fournir un contenu de qualité pour son site web est donc une nécessité : un content qualitatif valorise votre sérieux, augmente votre ranking et accroît le taux de conversion des leads et des prospects. C’est un investissement vite rentable !

Article rédigé par Antipodes Médical

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